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23 juillet 2020

KOULA-MOUTOU/ MOUVEMENT ON S'ENGAGE : Gratuité des cours de soutien à tous les candidats au baccalauréat

Alors qu’en date du mardi 30 juin 2020 dernier, l’ex Premier ministre annonçait la reprise des cours uniquement pour les classes de terminales après une suspension d’environ quatre mois due à la crise sanitaire du coronavirus, l’ONG « Mouvement On S’engage » parrainée par le Ministre Hugues Mbadinga Madiya offre gratuitement les cours de soutien à tous les candidats au baccalauréat de la commune de Koula-Moutou. Cette initiative, lancée ce mercredi 22 juillet 2020 au Lycée jean Stanislas Migolet, vise à combler les retards involontaires sur le calendrier scolaire avant les examens du baccalauréat
.


C’est sous le parrainage de Hugues Mbadinga Madiya, actuel Ministre du Commerce, des Petites et Moyennes Entreprises et de l’Industrie, fils de la province de l’Ogooué-Lolo, via l’Organisation Non Gouvernementale « Mouvement On S’engage » que le lancement officiel de la gratuité des cours de soutien aux élèves en classe de terminale de la commune de Koula-Moutou a été initié.

Ce lancement par Severin Joe Malph Divassa, président de cette ONG, s’est effectué avec la présence des responsables des établissements secondaires de Koula-Moutou, le corps professoral, les 446 élèves régulièrement inscrits en classe terminale, les parents d'élèves et une dizaine de candidats libres. Ayant constaté le grossier retard cumulé durant la suspension des cours due à la COVID-19, les responsables de l’Organisation Non Gouvernementale « Mouvement On S’engage » ont décidés d’accompagner ces futurs bacheliers avec pour objectif de les remettre à niveau, de les apporter un soutien psychologique et de les motiver à se remettre au travail.


In fine, les cours de soutien gratuits ont lieu, selon un programme bien établie, tous les jours ouvrables de la semaine (de lundi à vendredi), de 15h à 18heures. Cette initiative prendra fin le vendredi 14 août prochain.

INOE

22 juillet 2020

GABON/LEM-TRIX : Un groupe de jeunes danseurs qui fait du succès en Afrique du Sud

Lem-Trix est un brassage de jeunes danseurs-chorégraphes d'origine gabonaise au départ, et sud-africaine. Ils sont tous « promoteurs de la danse urbaine gabonaise ». Ils pratiquent le tradi-moderne, un mélange de la danse traditionnelle et moderne. Ils ont participé à pas mal de concours talent en Afrique du Sud comme au Gabon
.

Avec plus de cinq ans d'existence officiellement, le groupe Lem-Trix a parcouru plusieurs régions sud-africaines, sur invitation de prestations, afin de se faire connaître. Leurs chorégraphies tradi-modernes originales avaient attirées, en 2018, plus de 500 spectateurs dans leurs différentes salles d'événement. (Voir sur leur compte Instagram et YouTube : https://www.instagram.com/lem_trix_?r=nametag - https://www.youtube.com/channel/UCPoWg3lw2cc485ztRhZhliA)

Ces jeunes danseurs utilisent majoritairement leur personnalité "gaboma" (les danseurs tradi-modernes possèdent différentes personnalités en fonction de l'ambiance et/ou de la musique et peuvent changer/alterner). Il les arrive toujours de varier leur style musical et chorégraphique en montrant les danses célèbres des différents pays africains, peu importe le mode et de façon très marquée.

Amateurs de leur niveau, ils sont actuellement les danseurs sollicités par certains artistes en Afrique du Sud pour le tournage de clips vidéo et font la fierté du Gabon et de sa culture.

INOE 

21 juillet 2020

CRIME DE L’ETUDIANT EN MEDECINE : Uriel Abaga a un mot à dire sur la maladresse des uns 

En mi-juillet de cette année 2020, le cadavre d’une jeune fille a été découvert enfouis dans une fausse septique au quartier « ça m’étonne » d’Owendo, avec quelques-uns de ses membres (jambes et bras) emballés dans des sacs poubelles. L’auteur du crime s’avère être le petit copain de la défunte fille, un jeune étudiant de 5ème année en médecine à l’Université des Sciences et de la Santé (USS), qui l’aurait sans nul doute décapité. Depuis lors, dans les rues et sur les réseaux sociaux, les gens s’empennent aux étudiants provenant de la même université que le criminel ayant commis le forfait. Cette ainsi que Uriel Abaga Obiang, journaliste, communicateur et influenceur gabonais, s’est permis de rédiger quelques mots pour recadrer cette maladresse

 Intégralité du texte : 

Et comme d'habitude, on se retrouve à vilipender toute une communauté pour la faute d'un seul. 

 Le jeune étudiant en médecine a découpé sa compagne, je vois des gens qui attaquent les étudiants de l'USS. "On vous envoie à l'école pour soigner des gens, pas pour les découper", "on vous attend pour opérer les gens, vous, vous les tuer", ai-je pu lire sur la toile. 

Non! Le coupable c'est Élie-de-Dieu (c'est comme ça qu'on a dit qu'il s'appelle), et pas tous les étudiants en médecine d'Owendo. Il a commis son acte seul. 

Tous les étudiants en médecine ne "coupent" pas les gens. Et tous ceux qui ont déjà commis ce genre de cruautés n'étaient pas étudiants en médecine. Laissez-les! Beaucoup sont dans nos hôpitaux là, et soignent nos mères, sœurs, femmes, pères et enfants.

Aux dernières nouvelles, cette dernière, la jeune fille décapitée, était enceinte d’environ six mois dont le père serait l’auteur même du crime. Celui-ci, selon Gabon Première, serait réputé dans le braquage. Le meurtrier est actuellement aux arrêts et l’affaire entre les mains de la justice, étant la juridiction permanente en matière criminelle. 

 INOE

Un fou bonifie la "fameuse" baie des rois en mettant des flammes 

En fin de matinée de ce lundi 20 juillet 2020, un incident a été observé dans une partie du site de la baie des rois, à quelques mètres de la cours constitutionnelle. Un feu "volontaire" aurait été provoqué par un malade mental qui sillonnait les environs. 

La baie des rois, un projet à coût de plusieurs milliards de FCFA et n'ayant pas encore vu le jour, vient de refaire l'actualité. Une petite partie de ce site, en arrêt de travaux depuis plus d'un an, s'est retrouvé sous les flammes. Les populations environnantes et les agents des supermarchés étaient ahuris de constater, en pleine ville, la présence d'une fumée suffocante. 

Selon le témoignage des agents des forces de l'ordre en poste à ce lieu, ces flammes seraient provoqué par un malade mental qui sortait de l'intérieur de la clôture de la Baie des rois et s'est évanoui dans la nature. 

Les pompiers, très vite alertés par les agents de la garde républicaine, se sont dépêchés de se rendre sur les lieux et s'atteler à trouver des solutions pour mettre un terme à cela. Avec beaucoup de difficultés, les pompiers ont pu consumer ces flammes qui obstruaient la vue des automobilistes et gênaient les usagers. 

Plus de peur que de mal ! Aucun cas grave n'a été déploré. Ce ne sont que les herbes sèches, sur les dunes de sable, qui ont pris feu. Mais fort heureusement que le dommage causé à été réparé. 

Le pyromane présumé originaire du dommage, malade mental de son état, ne pourrait donc donner aucune raison pour justifier son forfait. Mais, selon certains, "il en avait peut-être aussi marre de constater que ce projet ne voit jamais le jour".

Certainement la Baie des rois, avec plus de six années écoulées depuis le lancement de ce projet, reprendra sa pause et se faire oublier une fois de trop. Ce projet, devant doter la capitale gabonaise d’un Centre d’affaires moderne, d’un port de plaisance, et surtout devant attirer le maximum d’investisseurs, cette marina suscite aujourd’hui l’ire de nombreux observateurs qui en voient le symbole du gâchis de la manne pétrolière gabonaise dans des projets surréalistes. 

INOE 

Un technicien de la SEEG meurt électrocuté sur un poteau électrique

L'accident s'est produit hier, lundi 20 juillet 2020, vers 13 heures. Un agent sous-traitant de la Société d’Énergie et d’Eau du Gabon (SEEG) qui intervenait sur un poteau électrique dans la commune d’Akanda a trouvé la mort sur le champ. L'origine de ce drame mortel n'est pas encore connue.


Arrivée au quartier Sherco avec un groupe de techniciens pour une intervention, la regrettée victime aurait escaladé un poteau électrique afin de résoudre une panne constatée.  Probablement, durant son intervention, l'attention lui aurait échappée qu'il se fera lourdement électrocuter par un câble haute tension et perdra la vie. 

Les populations environnantes se sont très vite dépêchées, par instinct de survie, de venir en aide aux collègues de ce dernier afin de repêcher son cadavre perché sur le poteau électrique. 

Aucune communication, par les employeurs de la victime décédée, n'a encore été faite à ce sujet. Il se pourrait qu'une enquête soit ouverte afin de justifier ce drame mortel. 

INOE 

19 juillet 2020

GABON/REPRISE DES COURS : Transports gratuits pour les élèves en classe de terminale 




Pour honorer ses engagements dans le domaine de l’éducation, le gouvernement gabonais, par le biais du ministère des Transports, a décidé de mettre à la disposition des élèves en classe de terminale des bus de transport gratuitement dès ce lundi 20 juillet jusqu'au 14 Août.

Par l'entremise du ministère en charge des transports, le gouvernement gabonais qui, il y a quelques jours, avait annoncé la reprise des cours pour les élèves en classe de terminale viens de soumettre la gratuité des transports pour ces derniers. Tout ceci dans la perspective de faciliter le retour des candidats au baccalauréat en classe.

TransUrb, Sogatra et TransAkanda sont les compagnies publiques qui sont mobilisées et bénéficient de l’agrément du ministère des Transports, selon nos confrères de " Média 241 ".

Sainte-Marie, Gare-routière, Rio, Cité des Ailes et PK12 sont donc les cinq axes routiers retenus pour le transport de ces élèves, dont 15 lignes disponibles de 6h à 8h45min et de 14h30min à 18h.

Somme toute, l'on reste sans ignorer que la pandémie actuelle du coronavirus continue de faire ravage et que les mesures barrières édictées par le gouvernement ne resteront pas sous-estimées. Cette reprise sera strictement conditionnée par le port de l’uniforme, d’un masque de protection et du respect des normes de distanciation sociale.

INOE

12 février 2020

Fête Nationale de la Jeunesse au Cameroun : Le Gabon représenté et mis à l’honneur


Les étudiants gabonais au Cameroun ont porté haut les couleurs du drapeau national lors de la Fête Nationale de la Jeunesse. C’était le mardi 11 février dernier à Douala, capitale politique du pays des Lions indomptables.

Depuis 1966, à la même date, le Cameroun célèbre la journée nationale de la jeunesse. Cette année 2020, il célébrait sa 54ème édition et ce, avec la participation d’un groupe de jeunes étudiants gabonais du côté de Douala. Il s’agit de l’Association des Étudiants Gabonais de Douala (AEGD). Comptant plus d’une vingtaine de ses membres ce jour-là, l’AEGD s’est levée en harmonie, vêtue des couleurs de la nation gabonaise pour participer fièrement au défilé prévu à l’ordre de cette journée qui d’ailleurs, a été très enrichissante pour ces derniers.

«  Cet évènement nous a appris, de façon indirecte, le vivre ensemble, le fait d’être pris en considération dans un pays autre que le nôtre... Je peux ajouter à cela, la connaissance des autres cultures et enfin, la nécessité de faire valoir nos couleurs nationales à l’étranger  », exprime une jeune gabonaise, membre de l’AEGD.

La participation de ces jeunes étudiant



s gabonais à ce défilé, effectué à la place de l’indépendance à Bonanjo de Douala, leur a été autorisée par le Ministère en charge de la Jeunesse et de l’Education Civique camerounaise, sous une note d’accès libre.

Cette journée, dédiée à la jeunesse camerounaise, permet de commémorer, célébrer les victoires et prouesses de la jeunesse, puis de la valoriser en tant que ressource potentielle pour le développement du pays. Les étudiants étrangers au Cameroun ne sont pas en reste, car la politique de l’Education nationale et de la Formation des Jeunes leur profite également.

Rappelons que le Cameroun et le Gabon entretiennent une solide coopération dans le domaine universitaire et des grandes écoles. L’Université Omar Bongo (UOB) de Libreville et l’Université de Yaoundé-II au Cameroun entretiennent des accords de coopération, premiers pays du genre dans la Communauté Economique et Monétaire de l’Afrique Centrale(CEMAC).

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