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21 juillet 2020

CRIME DE L’ETUDIANT EN MEDECINE : Uriel Abaga a un mot à dire sur la maladresse des uns 

En mi-juillet de cette année 2020, le cadavre d’une jeune fille a été découvert enfouis dans une fausse septique au quartier « ça m’étonne » d’Owendo, avec quelques-uns de ses membres (jambes et bras) emballés dans des sacs poubelles. L’auteur du crime s’avère être le petit copain de la défunte fille, un jeune étudiant de 5ème année en médecine à l’Université des Sciences et de la Santé (USS), qui l’aurait sans nul doute décapité. Depuis lors, dans les rues et sur les réseaux sociaux, les gens s’empennent aux étudiants provenant de la même université que le criminel ayant commis le forfait. Cette ainsi que Uriel Abaga Obiang, journaliste, communicateur et influenceur gabonais, s’est permis de rédiger quelques mots pour recadrer cette maladresse

 Intégralité du texte : 

Et comme d'habitude, on se retrouve à vilipender toute une communauté pour la faute d'un seul. 

 Le jeune étudiant en médecine a découpé sa compagne, je vois des gens qui attaquent les étudiants de l'USS. "On vous envoie à l'école pour soigner des gens, pas pour les découper", "on vous attend pour opérer les gens, vous, vous les tuer", ai-je pu lire sur la toile. 

Non! Le coupable c'est Élie-de-Dieu (c'est comme ça qu'on a dit qu'il s'appelle), et pas tous les étudiants en médecine d'Owendo. Il a commis son acte seul. 

Tous les étudiants en médecine ne "coupent" pas les gens. Et tous ceux qui ont déjà commis ce genre de cruautés n'étaient pas étudiants en médecine. Laissez-les! Beaucoup sont dans nos hôpitaux là, et soignent nos mères, sœurs, femmes, pères et enfants.

Aux dernières nouvelles, cette dernière, la jeune fille décapitée, était enceinte d’environ six mois dont le père serait l’auteur même du crime. Celui-ci, selon Gabon Première, serait réputé dans le braquage. Le meurtrier est actuellement aux arrêts et l’affaire entre les mains de la justice, étant la juridiction permanente en matière criminelle. 

 INOE

Un fou bonifie la "fameuse" baie des rois en mettant des flammes 

En fin de matinée de ce lundi 20 juillet 2020, un incident a été observé dans une partie du site de la baie des rois, à quelques mètres de la cours constitutionnelle. Un feu "volontaire" aurait été provoqué par un malade mental qui sillonnait les environs. 

La baie des rois, un projet à coût de plusieurs milliards de FCFA et n'ayant pas encore vu le jour, vient de refaire l'actualité. Une petite partie de ce site, en arrêt de travaux depuis plus d'un an, s'est retrouvé sous les flammes. Les populations environnantes et les agents des supermarchés étaient ahuris de constater, en pleine ville, la présence d'une fumée suffocante. 

Selon le témoignage des agents des forces de l'ordre en poste à ce lieu, ces flammes seraient provoqué par un malade mental qui sortait de l'intérieur de la clôture de la Baie des rois et s'est évanoui dans la nature. 

Les pompiers, très vite alertés par les agents de la garde républicaine, se sont dépêchés de se rendre sur les lieux et s'atteler à trouver des solutions pour mettre un terme à cela. Avec beaucoup de difficultés, les pompiers ont pu consumer ces flammes qui obstruaient la vue des automobilistes et gênaient les usagers. 

Plus de peur que de mal ! Aucun cas grave n'a été déploré. Ce ne sont que les herbes sèches, sur les dunes de sable, qui ont pris feu. Mais fort heureusement que le dommage causé à été réparé. 

Le pyromane présumé originaire du dommage, malade mental de son état, ne pourrait donc donner aucune raison pour justifier son forfait. Mais, selon certains, "il en avait peut-être aussi marre de constater que ce projet ne voit jamais le jour".

Certainement la Baie des rois, avec plus de six années écoulées depuis le lancement de ce projet, reprendra sa pause et se faire oublier une fois de trop. Ce projet, devant doter la capitale gabonaise d’un Centre d’affaires moderne, d’un port de plaisance, et surtout devant attirer le maximum d’investisseurs, cette marina suscite aujourd’hui l’ire de nombreux observateurs qui en voient le symbole du gâchis de la manne pétrolière gabonaise dans des projets surréalistes. 

INOE 

Un technicien de la SEEG meurt électrocuté sur un poteau électrique

L'accident s'est produit hier, lundi 20 juillet 2020, vers 13 heures. Un agent sous-traitant de la Société d’Énergie et d’Eau du Gabon (SEEG) qui intervenait sur un poteau électrique dans la commune d’Akanda a trouvé la mort sur le champ. L'origine de ce drame mortel n'est pas encore connue.


Arrivée au quartier Sherco avec un groupe de techniciens pour une intervention, la regrettée victime aurait escaladé un poteau électrique afin de résoudre une panne constatée.  Probablement, durant son intervention, l'attention lui aurait échappée qu'il se fera lourdement électrocuter par un câble haute tension et perdra la vie. 

Les populations environnantes se sont très vite dépêchées, par instinct de survie, de venir en aide aux collègues de ce dernier afin de repêcher son cadavre perché sur le poteau électrique. 

Aucune communication, par les employeurs de la victime décédée, n'a encore été faite à ce sujet. Il se pourrait qu'une enquête soit ouverte afin de justifier ce drame mortel. 

INOE 

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